« Avant, j’aurais aimé me réincarner en président, en pape ou en joueur de baseball avec une moyenne de 0,400. Maintenant, c’est en marché obligataire que j’aimerais me réincarner, car je pourrais effrayer tout le monde. »
— James Carville
Le fil conducteur : Les marchés obligataires mondiaux ont envoyé toute l’année des signaux qui suscitent la réflexion à ceux qui y prêtent attention. Ils ont laissé entendre leur mécontentement devant l’augmentation des déficits gouvernementaux. Ils ont hésité entre l’optimisme à l’égard d’une croissance plus forte que prévu et la prudence face aux coups qui pourraient frapper les économies à cause de l’accélération des guerres commerciales. Tous les investisseurs ont intérêt à décoder ces messages, car les taux des titres de créance souverains à long terme, par rapport aux changements apportés à la politique des banques centrales, peuvent permettre de faire une analyse plus nuancée de la trajectoire d’une économie sur la longue durée.
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